Dernier né d'une famille de sept enfants, chacun de ses parents, William (Bill) Frank Scott et Patricia Ann Simons, ayant chacun trois enfants de mariage précédant, il admet avoír été gâté. Selon sa mère, le prénom de Seann voudrait dire 'don de dieu'. William est son 'middle name', comme cela est fréquent aux États Unis. De son enfance, à Cottage Grove, on sait qu'il fréquentait les offices religieux jusqu'à trois fois par semaine. Il rapelle, par contre, qu'il a quelques fois participé à des coups plus ou moins recommandables, tel que d'attacher un plus jeune à un poteau: "Je fournissais le ruban adhésif, qui provenait de l'usine 3M où travaillait mon père." Personnalité complexe, dès son enfance, un de ses surnoms, Shark (requin) lui aurait été acollé dû à quelques sautes d'humeur. Mais au bout du compte, il s'est attiré une réputation de personne aimable et charitable. Doué aux études, où l'histoire américaine est une de ses matières préférées, il excelle également dans les sports. Son premier choix de carrière est, en fait, de devenir un professionnel en sport. Il décide finallement de tester les opportunités qu'il peut y avoir, pour lui, dans le cinéma où il y atteint un début de reconnaissance lors du 1995 IMTA Convention, ce qui a contribué, entre autres, à augmenter sa confiance en lui-même.
Ses débuts à Los Angeles ne sont pas nécessairement fulgurants. Il accepte des ouvrages dans un zoo, comme vendeur de bracelets "Glow in the dark", ou de churro; concierge dans un bureau d'avocats; entraîneur dans un centre de conditionnement physique; commis dans un centre de bricolage Home Depot où il admet candidement s'être caché dans les douches pour mieux apprendre les textes des auditions qu'il devait aller passer. Toujours à Los Angeles, alors qu'il se rend pour une audition pour Baywatch, il se trompe d'autobus, se retrouve dans un quartier mal famé, et se fait dévaliser par un gang de rue, non pas une fois, mais à deux reprises, où on lui prend le peu de monnaie qu'il a sur lui, un dollar et des poussières, son T-Shirt et ses espadrilles. Tenace, en dépis de cette adversité, il se rend quand même à l'audition, mais celles-ci sont terminées et il ne peut se produire.
Il ne recherche pas des films comiques, mais lorsqu'une audition pour American Pie se présente, sa prestation est aussitôt remarquée par Adam Herz qui décide de lui attribuer le rôle de Stifler. Ce rôle de composition le consacrera, mais il admet que cela lui attire des problèmes, auprès du public, qui voit davantage Stifler que la personne humaine, même si les deux personnalités sont diamétralement opposées sur plusieurs points. La candeur, la spontanéité sans filtrage de la pensé sont des traits communs, mais Seann est de nature courtoise, attentive à son environnement, n'hésitant pas à s'excuser, tout le contraire de Stifler. D'autres films suivent, où il joue un personnage totalement différent, tel que dans Destination finale, mais ces rôles ne semblent pas suffisamment forts pour éliminer l'image qu'a apporté Stifler. En fait, l'ovation du public pour Stifler a surpris même les auteurs de la série, ce qui se laisse voir, en autre, par l'importance grandissante qui est accordé au caractère, au fil de la série, soit dans American Pie 2 et finalement, dans American Pie 3 : Marions-les ! où le caractère de Stifler en est le pilier faisant évoluer l'action.
Même si son nom n'est plus à faire, il demeure que Seann William Scott ne dédaigne pas se produire auprès de compagnies indépendantes, où on peut y faire ce que les grandes compagnies ne laissent pas faire, nécessairement, et ce, dans un contexte d'innovation et de sensibilité.
Filmographie
1997 : Born Into Exile, d'Eric Laneuville (TV)
1998 : Joyeuse pagaille (Something So Right) (série TV)
Something About a Double Standard (1998)
1999 :
American Pie, de Paul Weitz
2000 :
Destination finale (Final Destination), de James Wong
2000 :
Road Trip, de Todd Phillips
2001 :
Eh mec ! Elle est où ma caisse ? (Dude, Where's My Car?), de Danny Leiner
2001 :
Evolution, d'Ivan Reitman
2001 :
American Pie 2, de James B. Rogers
2002 :
Jay & Bob contre-attaquent (Jay and Silent Bob Strike Back), de Kevin Smith
2002 : Flagrant délire (Stark Raving Mad), de Drew Daywalt et David Schneider
2003 : Retour à la Fac (Old School), de Todd Phillips
2003 :
Le Gardien du manuscrit sacré (Bulletproof Monk), de Paul Hunter
2003 :
American Pie 3 : Marions-les ! (American Wedding), de Jesse Dylan
2004 :
Bienvenue dans la jungle (The Rundown), de Peter Berg
2005 : Shérif fais-moi peur (The Dukes of Hazzard), de Jay Chandrasekhar
2006 :
L'Âge de glace 2 (Ice Age: The Meltdown), de Carlos Saldanha (voix de Crash)
2007 : Trainwreck: My Life as an Idiot, de Tod Harrison Williams
2006 : Southland Tales, de Richard Kelly
2007 : Mr. Woodcock, de Craig Gillespie
2007 : Québec (film 2007), comédie de Steve Conrad
http://fr.wikipedia.org/wiki/Seann_William_Scott
rouge les films que j'ai en dvd
bleu ceux que j'ai vus, ceux en rouge aussi je vous rassure
American Pie 2 et 3 pas terrible mais j'adore son humour
C'est dans et mec elle est ou ma caisse qu'il m'a fait le plus délirer sans doute, le film est pas top mais il me fait trop rire et quand il sort et mec elle est ou ma caisse ? Isa part à rire
trop naz le mec